Temps ensoleillé, passage nuageux. Ça se réchauffe. Levé à 7H00 devions partir tôt, mais de belles discutions à saveur politique sont mené avec notre hôte, fait que nous sommes parti vers 9H30 seulement. En passant nous avons fort apprécié notre séjour à Barjac et nos hôtes très sympathiques. Nous voilà parti, mais c'est jour de marché au village, alors nous y faisons un tour. Nous achetons quelques souvenirs et enfin nous quittons Barjac en direction de Aix-en-Provence. Les paysages sont toujours aussi beaux et les odeurs des herbes de provence nous chatouilles les narines. L'Hôtel Cardinal est en plein centre ville et le trafic est dense, de plus la rue de l'hôtel est en réparation. C'est l'enfer. Nous laissons la voiture un peu plus loin et nous dirigeons à pied vers l'hôtel. Surprise! Une chambre seulement est réservée. Nous sautons sur l'occasion pour fuir cette ville beaucoup trop animée pour une nuit. D'autant que nous devons aller au bord de la mer et souper sur un petit port. Nous retenons nos chambres à Aubagne, plus près de l'aéroport. Après avoir déposé nos valises, nous partons vers la Méditerranée.
Depuis le début du voyage j'attends ce moment, revoir la mer la plus bleue au monde. Mais le temps et toujours gris et la mer l'est aussi. Qu'importe, elle est là. Belle entourée de montagnes, manque que le soleil. Nous enlevons nos chaussures, relevons nos pantalons et marchons dans l'eau, qui, malgré tout n'est pas du tout froide. Nous sommes à Cassis, petit port et village de villégiature coquet. Après avoir dîner sur le port: Pastis, moules et frittes, nous prenons la route des crêtes, d'où nous avons une vue imprenable sur la baie de Cassis. Après une vingtaine de kilomètres de route tortueuse avec d'un côté la falaise et la mer et de l'autre un précipice toujours sans garde fou, nous arrivons à Ciota. Déception, malgré une fête médiévale, nous sommes déçu. Ce village est mal entretenu. Nous décidons de retourner à Cassis pour notre dernier souper que nous voulons festif et copieux. Hélas, votre humble serviteur ne se sent pas bien. Es-ce à cause des odeurs de poissons qui émanent des restaurants ou tout simplement une accumulation de nourriture des douze derniers jour? Certaines mauvaises langues dirons que c'est à cause des nombreux desserts ingurgités au fils des jours. Bref, mon estomac a dit: ''Stop! Pu capable!'' Donc pendant que les autres souper, je dégusté une grosse bouteille de Perrier cuvée 2008. Les sauces à la crème, les frites, les fromages, les croissants, les petits pains au chocolat, les crèmes caramel, les îles flottantes et les crèmes brûles ont quelque peu eu raison de mon estomac. Après le souper, plutôt après leur souper, nous repartîmes vers l'hôtel préparer les valises et dormir notre dernière nuit sur le territoire français.
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