lundi 18 mai 2009

En vrac

18 mai fête des Patriotes
«Un peuple qui ne veut pas voir son passé, ferme les yeux sur son avenir

La Fédération des femmes du Québec prend position sur le port du voile dans la fonction publique : «ni obligation religieuse, ni interdiction étatique». Ce qui veut dire qu’elles sont contre les religions qui forcent la femme à porter le voile, mais en même temps elles sont aussi contre le fait que le gouvernement puisse interdire le port du voile dans la fonction publique. Donc ni blanc, ni noir. Ni gros, ni maigre. Je décrirais la Fédération des femmes comme suit : «Ni épaisse, ni intelligente»

Es-ce moi ou bien Dominique Michel devient de plus en plus fatiguante dans ses pub.

Pincez-vous le nez et dite : Portes et fenêtres Verdun. Pu capable!

Dans la pub de Brault et Martineau, comment se fait-il que la fille qui se prépare à partir en voyage qu’elle a gagné, soit surprise de voir Sylvain Cossette. C… elle a rempli un coupon pour participer au concours.

Au lieu d’avoir une caisse éclaire dans les épiceries, pourquoi ne pas mettre une caisse pour les ti-vieux. Ils pourraient compter tout leur maudit ti-change sans pour cela retarder tout le monde.

Parlant des ti-vieux, pourquoi vont-il faire vérifier leurs O… de billets de loterie au moment ou je vais payer mon essence? Et lorsque que je vais me chercher un café, pourquoi sont-ils au comptoir à poser milles questions sur les beignes ou sur les sortes de cafés pour finalement prendre un C…de thé sans lait ni sucre?

Quelqu’un peut-il me dire ce que font des musulmanes avec leur voile et leur djellaba dans des boutiques comme le Château, le Garage ou même Suzie Sheer? Ce peut-il que le voile et la djellaba soit seulement un uniforme pour la promotion de l’islam et que le soir dans leur casbah elles se déguisent en cochonne le nombril à l’air?

La ministre Normandeau et le député Bonardelle sont en amour. Ne trouvez-vous pas que leurs noms sonnent comme des marques de fromages? Le Normandeau, une pâte molle avec une croûte épaisse et le Bonardelle une pâte ferme, avec un p'tit goût piquant. À servir sur un lit de salade, entouré de légumes.


Je dédie cette journée à Karine pour son anniversaire.

vendredi 10 avril 2009

Joyeuses Pâques!

Jean, avant l’élection demanda à Monique-Madeleine de continuer à faire parti de son équipe. Je jure que je vais te laisser partir avant Pâques lui dit-il. Juste après ton budget déficitaire. Alors qu’elle est ta réponse, demanda Jean avec insistance. Si c’est positif moi «Je suis prêt» dit-il. Alors Monique-Madeleine lui répondit : la dernière fois aussi t’étais près et tu m’en a passé une p’tite vite. Mais cette fois-ci c’est vrai, car je vais être majoritaire et personne ne va m’empêcher de faire ce que je veux. Si tu accepte je te récompenserais comme j’ai l’intention de récompenser plusieurs de mes petits amis. Et si tu n’es pas totalement satisfaite tu pourras me jeter la première Pierre-Curzi. Alors Monique-Madeleine se laissa embarquer tout comme le bon peuple d’ailleurs. Et comme le bon peuple elle se fit baiser sans plaisir. Jean prit donc la tête de la province par la taille.

Dès son élection Jean se dirigea vers le Temple du centre ville ou étaient réunis tous les marchands. Sans même le féliciter, les marchands donnèrent leurs ordres sur la façon dont il devra gouverner. Jean s’étendit à plat ventre devant les marchands et leur baisa les pieds. Contrairement à l’histoire de l’autre messie, celui qui marchait sur l’eau parce que le gouvernement ne voulait pas construire un nouveau pont et qui changeait l’eau en vin à cause des prix élevés de la SAQ. Notre Jean lui, ne souffrit pas. Au contraire, c’est le bon peuple qui souffrit et c’est ce même peuple qui fit son chemin-de-croix-des-promesses-de-Jean. On cloua d’abord le peuple sur une énorme croix fabriquée en PPP et on lui fit payer les clous. Le chemin était jonché de petites augmentations routières que l’on appela : tarifaires. Lors de sa première chute le peuple trébucha sur les urgences d’hôpitaux et sur le CHUM. À sa deuxième chute, il reçu le décrochage des jeunes en pleine poire. Tant bien que mal le peuple se releva, mais trébucha une autre fois. Il venait de recevoir la Caisse de dépôt sur la tête. Soudain sortant de nulle, donc de Toronto, Michael Sabia s’approcha et essuya le visage du bon peuple avec un grand linge blanc. Qui deviendra plus tard un Saint-Suaire et que Sabia pourra revendre en petits morceaux à gros prix pour remplacer ses primes de départ.

Bref après quatre mois au pouvoir Jean commence à tirer de l’aile. Plusieurs de ses disciples aimeraient le voir retourner prêcher dans le désert, donc à Ottawa. Et voici que Monique-Madeleine démissionne. Fatiguée de recevoir les coups de fouets destinés à son Maître. Elle part pour se rapprocher de sa famille. Il était grand temps d’y penser Monique-Madeleine, tu as 68 ans. Tu vas la trouver changé ta famille. Que va devenir Monique-Madeleine Jérrrrrrôôôme Forrrrget et ou allons la retrouver dans un future rapproché : Chez Power Corporation? À la Caisse de dépôt? Ou bien à l’Agence des Partenariats-Privés-Public (PPP). Une chose est certaine il faut que dans 3 ans ce bon peuple sorte de son linceul, roule la maudite pierre et ressuscite.

En dernière minute je viens d’apprendre que le Canadien se rendra en «Syrie» par le chemin de Damas sûrement. Es-ce que le bon peuple croit encore aux miracles? Va-t-il se retrouver devant le mur des lamentations? Une chose est certaine Ponce Gillett va s'en laver les mains... dans la bière.

dimanche 8 mars 2009

Quand l’intelligence part en fumée.

Premier départ d’intelligence : Lorsque que Harper vient dire en pleine télévision que l’on ne gagnera jamais en Afghanistan. Je suis certain que les veuves, enfants et parents des soldats tués dans ce désert perdu on sentit tout le réconfort et le respect du gouvernement «canadian». Au nom de ces jeunes, merci Harper.

Deuxième départ : Prévost, Qc un médecin assassine ses deux enfants au nom de la jalousie. Merde. Si tu n’as pas été foutu de garder ta blonde parce que tu ne pouvais satisfaire certains de ses besoins, la seule solution que tu as trouvé est d’enlever la vie à deux innocents à peine arrivées sur cette maudite planète. Enfants qui avaient apporté que de la joie autour d’eux. Nos cœurs ont tellement mal et le geste si dégueulasse, que nous voudrions la plus cruelle des sentences pour ce genre de malade. C’est pourquoi il faut le laissez vivre afin qu’il se souvienne le plus longtemps possible du mal qu’il a fait. Que chaque étape de sa vie lui rappelle qu’il aurait pu vivre ces instants avec ses deux enfants.


Troisième départ : Le gouvernement «canadian» par l’entremise du ministère des affaires indiennes vient de financer l’achat de machines à cigarettes sur les réserves indiennes. Un cheval, un lapin. À voile et à vapeur. D’un côté ce gouvernement de bandes dessinées passe des lois pour interdire de fumer, car la santé des «canadians» est plus importante que tout et de l’autre il aide à la fabrication des cigarettes à plumes. Qui plus est, il vient de délivrer un permis d’exploitation de fabrique à cigarettes à un individu (lire autochtone) qui vient d’être arrêté et condamné pour possession et trafic de drogue. Ou est le lobby anti-tabagiste? Ou sont les résultats scientifiques sur le contenu de ces cigarettes? Ou est la police qui doit surveiller nos écoles? C… que je suis fier d’être «canadian», j’espère que vous l’êtes aussi.

Quatrième départ : Le gouvernement Québécois dans son entier et la gestion de la Caisse de dépôt. Charest et sa ministrrrrrrrrrre des finances se foutent complètement de nous. 40 milliards de dollars parti eux aussi en fumée et personne ne veut nous donner d’explications. Le ministre Dupuis pousse un peu plus loin en disant que les québécois ne sont pas assez intelligent pour comprendre la complexité de la caisse. «Heu! S’cusez mssieur l’ministre parlez-vous de la caisse populaire près de che nous ou bin celle que les amateurs de hockey achète quant-il regarde une game de nos valeureux biellorussiens-russo-suédoigts». Non, si le ridicule tuerait les abords du parlement seraient jonchés de morts. Charest veut couvrir ses petits amis, ceux justement qui vont assister au déjeuner de la Chambre de commerce de Montréal ou Henri-Paul Rousseau va s’expliquer à la suggestion de son nouveau patron : Paul Desmarais de Power Corporation, dont le fils siège sur le conseil d’administration du future CHUM. Le même Paul Desmarais dont la belle-fille est la toute nouvelle «présidente» de la Chambre de commerce de Montréal. Pour ce qui est de la ministrrrrrrrrrrre des finance ces pas grave, elle ne sera plus en politique d’ici la fin de l’été. C… que je suis fier d’être «Québécois», j’espère que vous l’êtes aussi. Il me semble que je me répète!

samedi 7 février 2009

Paris, Washington, Montréal

Sarkosy, France
Le discours insultant et sans fond de Sarkozy envers les souverainistes du Québec venait-il de lui? Sûrement pas. Sarkosy avait une dette à l’endroit de Paul Desmarais, grand mandarinat de Power Corporation. Desmarais a été un des plus importants bailleurs de fond de la campagne présidentielle de Sarkosy, ce qui l’a aidé à se faire élire. C’est pourquoi le discours était plus celui de Desmarais que celui du «petit Napoléon des pauvres». Et dans tout ça notre ami Jean Charest a eu l’air du con que l’on invite à «Un dîner de con». Pour vous monter à quel point certain français ne connaissent rien au Québec, voici en quel mots un député de l’UMP en France a reçu Jean Charest après le discours du petit joujou à Carla : «J’espère que vous n’avez pas trop la plotte à terre». Je l’ai toujours dit : La France est le plus beau pays du monde, dommage qu’elle soit habité par des français. Ah oui! Vous saviez sûrement que la République Français grande dame si l’en est une, avait un petit trou du c..? Ben oui, il a même un nom : Sarkosy.


Obama, USA
Voici comment je terminais mon texte sur Obama du 18 janvier : «…mais n’oublions pas qu’il est américain et qu’à ce titre toutes les décisions qu’il prendra seront avant tout dans l’intérêt de l’establishment américain. Comme dirait l’autre : «Charité bien ordonnée commence par soi-même». Voilà que nous y sommes : Recule significatif sur Guantanamo et les prisonniers qui s’y trouvent. Avertissement au Canada pour ce qui est des produits d’importations. Puis sa visite à Ottawa. À ce que je sache, il ne discutera pas économie ni stratégie avec Guignol. Non. Il va plutôt demander (lire exiger) à Harper de retarder la date du retrait des troupes canadiennes de l’Afghanistan. Quand? En 2012, 2013 ou bien 2015? À vous de choisir, votre choix vaut le mien. À l’instar de Sarkosy, la campagne d’Obama a couté plus d’un milliard de dollars. Il en doit sûrement une bonne partie à quelqu’un.


Amateurs, MONTRÉAL
Je m’excuse de revenir la dessus, mais le Canadien a vraiment beaucoup de problème depuis le retour de Koivu et Price. Je dis ça seulement en passant.

dimanche 25 janvier 2009

Fierté, quand reviendras-tu?

Le 13 septembre 1759 avait lieu la bataille des plaines d’Abraham. Le 13 septembre 2009 le gouvernement fédéral veut par l’entremise de la Commission des champs de batailles, commémorer la victoire des anglais sur les français. Il n’y a qu’au Québec qu’une chose semblable peut se produire. Fêter la défaite de la Nouvelle France en territoire Québécois. Si ce n’est pas de la provocation je me demande bien ce que c’est? Mais n’oublions pas que nous aimons nous faire rappeler constamment que nous ne sommes que des colonisés.

Faisons un peu d’histoire. Savez-vous qui était l’adjoint de Wolf à cette époque? Robert Moncton. Ce Moncton a été l’instigateur de la déportation des Acadiens. C’est pourquoi une ville et une université porte son nom. Jusqu’à là rien d’anormal étant donné qu’on parle ici d’une province anglophone. Mais le plus drôle c’est qu’il y a une rue Moncton à Québec. Ce gentleman dans la stratégie de Wolf devait précéder la flotte anglaise en brulant les fermes et en tuant hommes, femmes, enfants et animaux afin d’affaiblir les français sur les rives du Saint-Laurent jusqu’à Québec. Autre gentleman, Colborn, sous-fifre de Hamherst. Colborn dont le surnom était le «Brûlot» avait pour spécialité d’incendier des fermes et des villages francophones en plus bien sûr de tuer et de violer femmes et fillettes. C’est aussi un grand héro «canadian» car il a su mater la rébellion des patriotes de Saint-Denis et de Saint-Eustache. Autre rue de Montréal : Hamherst. Jeffrey Hamherst, général de sa profession, fut l’inventeur de la guerre bactériologique en distribuant au indiens de la vallée de l’Ohio dont le chef était Pontiac, des couvertures infectées par la variole. Il fut ainsi responsable de la mort de milliers d’autochtones qui ne voulaient pas se soumettre aux règles du colonisateur et de plus, malheur à eux, ils étaient du côté des français. Nous honorons cet homme au centre ville de Montréal.

Je ne comprends pas pourquoi nous avons cette mentalité. Pourquoi nous acceptons ces affronts. Les Québécois sont-ils devenu à ce point des mauviettes, des carpettes sur les quelles n’importe qui peut s’essuyer les pieds? Pouvons-nous imaginer Paris avec une rue portant le nom d’Adolph Hitler? Ou bien les français commémorer la défaite de Napoléon à Waterloo? Nos élus sont frileux et les gens du service de toponymie de Montréal sont des lâches qui ne veulent pas déplaire aux «maîtres» anglais. C’est pourquoi sur la Place Jacques-Cartier trône la colonne Nelson. Nelson : Général Anglais qui n’a jamais mis les pieds au Canada, mais qui combattait Napoléon en France. Jacques Cartier après tout n’est que le découvreur de la Nouvelle France. Et dire que les anglophones de l’ouest de Montréal non jamais accepté le nom de René-Lévesque pour le «Dorchester Boulvard». Mais ce qui m’attriste le plus, c’est des Québécois comme la «sinistre» fédéral Josée Vermer et l’adéquiste Eric Caire qui trouvent ça normal et qui se feront une joie d’assister à la commémoration du début de notre colonisation et qui vont entraîner avec eux des milliers de québécois apolitiques. Espérons que les pressions politiques vont faire changer d'idée ce gouvernement d'opérette sans crédibilité.

dimanche 18 janvier 2009

Méli Mélo

Monsieur le Président.
Mardi Obama sera officiellement Président des États-Unis. À quoi faut-il s’attendre. Pour les américains c’est simple, ils retrouvent enfin leur dignité. Quoique le travail à accomplir soit gigantesque, je crois qu’il améliorera le sort de ses citoyens plongés dans un marasme économique. Par contre sur le plan international, les résultats seront moins probants. Aucun commentaire encore sur la guerre Israélo-palestinienne. (Je ne crois qu’il va se mettre à dos la puissante communauté juive américaine et mondiale) Oui, il a dit qu’il retirerait l’armée américaine d’Irak, mais il est déjà revenu sur certaines promesses. De toute façon il veut augmenter leur présence en Afghanistan. Bref, je suis très content de son élection, car c’est vraiment un vent de fraîcheur, mais n’oublions pas qu’il est américain et qu’à ce titre toutes les décisions qu’il prendra seront avant tout dans l’intérêt de l’establishment américain. Comme dirait l’autre : «Charité bien ordonnée commence par soi-même».


ADQ .
Congrès en fin de semaine de l’ADQ. Pour Mario pas de remord. Mais les adéquistes sont à la recherche des 700,000 votes qu’ils ont perdus de l’autre élection. Ils ont eu beau fouiller tous les bureaux de scrutins, rien. Ni sous les tables, ni dans aucuns recoins des salles des écoles du Québec. Bref ils ne comprennent pas ou ils ont pu passés. C’est votes sont retourné d’où ils venaient, un peu aux libéraux de capitaine Canada et la balance au parti Québécois. Ces 700,000 votes étaient un vote de protestation contre les péquistes et non pas un vote pour l’ADQ. Sauf que si Mario avait était un peu moins égocentrique, il aurait pu manœuvrer pour les conserver en prouvant qu’il avait ce qu’il fallait pour diriger le Québec. Malheureusement il n’a même pas était capable de nous montrer qu’il avait était un bon chef de l’opposition. Adéquistes du Québec, vous aviez confié les 700,000 votes à Mario Dumont, c’est à lui qu’il faut posé les questions, c’est lui qui les a perdus.


Un numéro UN pour DEUX.
Voici ma première intervention dans le vestibule de la Sainte-Flanelle. Même si l’on m’accuse parfois de ne pas être un véritable fan du Canadien, j’ai tout de même une opinion que je partage avec moi-même. Et je me pose deux (2) curieuses questions. La première qu’allons-nous faire avec Price. Est-il encore numéro un dans le club ou bien se fait-il damer le pion par Joroslav Halak, qui ma foi a fort bien répondu aux attentes de Carbonneau en donnant à son patron 8 victoires en 10 sorties. Es-ce que les experts peuvent encore le considérer comme un numéro 2 ou bien est-il devenu le numéro 1 pour 2? Ma deuxième question porte celle-ci sur Saku Koivu. Et encore une fois n’en déplaise aux experts, depuis que Saku est blessé, le club a une fiche de 11 victoires, 4 nulles et une défaite. Les statistiques parlent par elles-mêmes. Ça fait longtemps que je dis que Saku devrait se retirer et qu’il n’a jamais justifié le salaire que l’équipe lui donne. Donc gardons Price sur le banc et donnons le «C» à Kovalev. (À Nathalie «ton héro de jeunesse fait tout de même du bon travail, même si il n’est pas plus beau qu’à l’époque de ta tendre jeunesse»).