dimanche 2 mai 2010
Curieux ce Québécois silencieux
samedi 27 mars 2010
Le curieux Slam
pendant qu’il est encore gratuit
luit et me réjouit.
Suggestions : http://www.provocantekarine.blogspot.com/
dimanche 28 février 2010
Le Québec raciste... curieux?
dimanche 24 janvier 2010
Haïti Chérie
À ses début l'île était habité par deux peuples les Arawaks et les Caraïbes, qui avaient nommé leur île, Ayiti ce qui veut dire : Terre des hautes montagnes. En 1492 Colomb découvrit Ayiti et la baptisa Espagnola. L’île regorgeait d’or et les Espagnoles soumirent la population aux travaux forcés. Vingt cinq ans plus tard cette population fut totalement décimée et c’est à cette époque que les Espagnoles débutèrent l’esclavage de l’île.
Vers 1545 que les Français commencèrent à s’intéresser à la partie occidentale de l'île, ou était déjà établis des flibustiers et des boucaniers français. La France donna le nom de Saint-Domingue à cette partie de l’île. En 1667 l’île devint deux entités Haïti (France) et la République Dominicaine (Espagne). Puis sur une ordonnance de Louis XIV, fut appliqué le «Code noir» qui devait règlementer l’esclavage. Ce code privait l’esclave de son identité. Le noir devenait «Nègre» sans aucun droit. La France abolira l’esclavage en 1848. La colonie française devint la plus riche des Amériques.
Le 1er janvier 1804 fut proclamée l’indépendance de Saint-Domingue qui devint la première république noire libre et prit le nom d’Haïti. En 1906 les compagnies américaines commencèrent à exproprier les paysans Haïtiens ne possédant pas de titres de propriété. C’est en 1915 que les Américains finirent par occuper l’île militairement après une guérilla qui fit près de 15 000 morts et mirent en place un gouvernement de soumission (déjà!). Malgré la mise en place d’infrastructures qui se font aux dépend des plus défavorisés, les Haïtiens ont gardé une hostilité face à l’occupant. Les États-Unis se retirent d’Haïti en 1934 en pleine crise mondiale. C’est le retour à l’instabilité politique et économique. Tout ceci va faire place à une période dictatoriale qui va garder le peuple dans l’ignorance et la pauvreté.
François Duvalier (Papa Doc) se proclama Président à vie et modifia la constitution pour faire de son fils Jean-Claude (Baby Doc) son successeur à vie. Le fils fut pire que le père. En 1986 le peuple se souleva et renversa Baby Doc, qui du se réfugier en France pour dépenser la fortune d’un peuple. Après une autre dégradation économique les Américains envahir une autre fois Haïti et installèrent Aristide à la Présidence. En 1995 se fut René Préval qui pris la présidence jusqu’en 2000. Puis Aristide fut reporté au pouvoir. Il devint lui aussi quelque peu dictateur. Il fini par démissionner en 2004 et se retira aux ÉU. Les Marines débarquèrent encore une fois, mais à la tête des forces de l’ONU afin de ramener l’ordre dans la capitale. René Préval redevint Président en 2006. Tout ce chaos politique a contribué à maintenir le peuple dans une pauvreté extrême, une des pires au monde. Pour finir Haïti a été victime de 4 cyclones, 3 pluies torrentielles, 16 inondations, 15 ouragans, 12 tremblements de terre, qui ont engendrés des famines sans précédent et qui ont réduit à néant l’économie du pays. La capitale fut détruite trois fois.
Aujourd’hui, janvier 2010 une autre catastrophe avec plus de 150 000 morts, va garder ce peuple dans la misère. L’aide internationale se mobilise avec à leur tête les américains. La rapidité avec laquelle ceux-ci ont pris le contrôle de l’aéroport, me fait me poser des questions. Qu’ils aient agi par compassion, je n’en doute aucunement. Mais ont-ils voulu couper l’herbe sous les pieds des Chinois? Veulent-ils surtout contrôler tout ces réfugiés qui pourraient envahir les côtes de la Floride? Ces questions se posent. Plusieurs vont tenter de ce faire du capital politique sur la misère de ce pays et de ses enfants. Que va-t-il se passer quand les caméras seront parti filmer d’autres misères humaines? Cette question aussi se pose.
mardi 29 décembre 2009
Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
Cette année en fut une de crise. Les grandes entreprises, les banques, les sociétés de placement et les compagnies d’assurance, toutes ces institutions du haut lieu de la finance à travers le monde ont supplié les gouvernements de les aider afin que la planète ne sombre pas dans le chaos total. Les gouvernements ont obtempéré, car toutes ces compagnies sont les maîtresses du pouvoir. Elles ont contribués à mettre en place ces «hommes de bonne volonté» pour qu’ils nous gouvernent. On ne mord pas la main de celle qui nous nourris, que tu sois président des États-Unis ou simple premier ministre du Canada ou du Québec. Il y a maintenant un an que ces entreprises ont été sauvés de la faillite et déjà elles recommencent à se voter des bonis mirobolants. Pour exemple, la compagnie AIG a qui le gouvernement américain a versé 140$ milliards qui vient de s’octroyer des bonis de 160$ millions et qui plus est, intente des poursuites au gouvernement pour des impôts trop élevés. N’es-ce pas là des «hommes de bonne volonté?». Plus près de nous, Stephen Harper et les sables bitumineux de l’Alberta. Le pétrole le plus polluant de la planète et dont la compagnie pétrolière Total de France est partenaire. Devinez qui siège sur le conseil d’administration de Total? Un des fils de Paul Desmarais. Un autre «homme de bonne volonté». Que voulez-vous? Comme disait l’autre. Lorsqu’on maintient en poste un président français, un premier ministre canadien, un chef de l’opposition libéral, un petit premier ministre Québécois et bien d’autres,(lire ici chefs d’états, ministres et quelques journalistes) il faut bien qu’ils lui démontrent beaucoup de bonnes volontés. Surtout ne me dite pas que je suis bien content de faire rouler ma voiture avec le pétrole albertain. Le Québec n’utilise aucun litre d’essence en provenance de l’Alberta. Notre pétrole vient en majorité de l’Argentine et du golfe persique.
Les seuls à qui nous pouvons souhaiter «paix sur la terre aux hommes de bonne volonté» ce sont les jeunes qui se trouvent en Afghanistan. Parce que même si nos dirigeants les envois là bas sur des bases mensongères, eux y vont avec toute leur bonne volonté. Bref, 2009 est terminé et nous avons eu notre part d’«hommes de bonne volonté». Pour en nommer que quelques un : Lacroix, Henri-Paul Rousseau, Jones, Harper, Charest, Tremblay, les Desmarais père et fils, les entrepreneurs qui œuvrent pour les municipalités et le ministère des transports, les récidivistes de l’alcool au volant et les pédophiles en puissance. Tous des «hommes de bonne volonté».
Note aux féministes: En fin de compte je parlais vraiment que des hommes.
J’aimerais donc vous souhaiter la santé et plein de petits bonheurs pour 2010. Pourquoi petit? Parce que si vous en manquez un, il en arrivera d’autres. Si je vous souhaite seulement «du bonheur» et que vous le manquiez, vous allez être obligé d’attendre l’an prochain. Merci à tous ceux qui m’ont suivi au long de cette année.
Je dédis ce texte à une personne que j’aime beaucoup.
Lâche pas Noëlla!
lundi 14 décembre 2009
Curiosités de l'avant
Le journaliste Pascal Pointland débute son reportage ainsi : «Pour Mélanie Roberge de Danacona, quatre jours de repos n’ont pas suffis pour oublier la terrible nuit du 10 décembre…» C’est peut-être parce que lorsque tu perds deux enfants de 9 et 15 ans dans l’incendie de ta maison, ça va prendre plus que quatre jours de repos pour oublier!
La flamme olympique unilingue
Comment se fait-il que tous les journalistes, qui se sont fait aller le mâche patates pendant les élections municipales de Montréal, parce que Louise Harel ne parlait pas anglais, ont passé sous silence l’unilinguisme du maire d’Ottawa pour expliquer et s’excuser au francophones le fait que les cérémonies du passage de la flamme olympique se sont déroulés uniquement en anglais dans une ville officiellement bilingue?
Publicité radio
Chéri, tu as acheté six téléviseurs?
Ben oui chérie, ils ont tellement pas cher chez Futur Shop. Un peu radin, non? Il aurait pu au moins acheter six cinémas maison avec ses téléviseurs? Des grands penseurs nos publicitaires.
Publicité télé
La pharmacienne d’Uniprix qui est au bord des larmes en répondant à sa cliente. Travaille-t-elle dans votre coin? J’en veux une comme ça. Chez Jean Coutu vous trouverez un ami. Chez Uniprix vous allez trouver une pleureuse. Moi je vais chez Pharmaprix… rien, neni. Juste des pilules contre les excès de sucre.
Autre publicité télé
On vas-tu avoir l’air fou avec nos cadeaux cette année, à côté du gars qui donne une Honda à sa blonde et qui a réussi à la garer dans l’entrée avec un chou rouge sans qu’elle ne s’aperçoive de rien. Ça, ça vous scie la banane, messieurs.
Des voeux pour:
Le Canadiens de Montréal : Moins de joueurs en «K», c’est une
équipe de hockey, pas une boîte de céréales.
Bob Gainey : Une autre équipe.
Carrey Price : Moins de rondelle-ttes.
Parti libéral du Québec : Des enveloppes… brunes.
Charest : De jouer moins au Père Noël avec les amis du parti.
Harper : Repeindre son bureau en «vert».
Ignatieff : Qui? Ho! Ho! Ho!
Parti libéral du Canada: Un autre chef.
Marois : Une idée brillante pour relancer son parti.
Dumont : Qui? Ho! Ho! Ho!
Maire Tremblay : Un livre «La gestion pour les nuls».
L’ADQ : Qui? Ho! Ho! Ho!
Québécois: Arrêter les somnifères.