Il n’y a pas longtemps je remettais en question la pertinence du Bloc Québécois. Je m’explique. Je me disais que si le Bloc disparaissait de la carte électorale fédérale, les Québécois n’auraient d’autres choix que de voter Libéral ou Conservateur. Avec le temps ils comprendraient que libéraux et conservateurs ne serviraient pas vraiment les intérêts du Québec. Comme dit le proverbe : Chassez le naturel, il revient au galop. Donc si vous suivez mon raisonnement, l’idée de souveraineté reprendrait du poile de la bête.
Mais à la lumière des évènements qui se passent à Ottawa, je dis merci au Bloc d’être encore là. Même minoritaire Harper essaye de nous faire avaler ses couleuvres. Le jeux des conservateurs est fort simple. Ils veulent tout simplement diminuer le poids du Québec dans l’échiquier canadien. Remarquez que je comprend fort bien leur point de vue. Ils veulent un Canada à leur image, ce qui est défendable. Sauf, et c’est la que le bas blesse, le Québec est encore dans le Canada et il ne voit pas le Canada de la même façon que les conservateurs. Alors nos petits amis canadians cherchent un moyen de passer outre le Québec. Comment? Premièrement en augmentant le nombre de député dans l’ouest ou ils ont leurs appuis. Deuxièmement en coupant les subventions aux partis politique, ce qui aurait pour effet d’affaiblir entre autre l’opposition qui vient du Québec et pour les libéraux de retourner aux commandites. Pour les conservateurs leur financement viendrait des pétrolières de l’ouest à qui ils doivent les deux dernières élections.
Pendant ce temps au Québec, on s’apprête à réélire les libéraux de Charest. Expliquez-moi comment un premier ministre qui n’est pas aimé et qui n’a rien fait de valable depuis six ans, obtient 40% du vote selon les sondages. Je veux bien croire que l’électorat anglophone et allophone lui sont acquis, ce n’est pas suffisant pour obtenir ce pourcentage. Pour l’instant il met la faute sur Pauline Marois pour tous les malheurs du Québec. Heureusement que la campagne achève, car il mettrait la faute aussi sur Parizeau ou pourquoi pas sur René Lévesque. Le plus drôle, c’est qu’il a encensé Pauline lors de son assermentation à l’assemblée nationale. Il lui a dit ceci : Vous avez fait madame, tellement pour le Québec, que je ne crois pas qu’un homme pourra un jour en faire autant’’. De l’autre côté il y a notre ami Mario. Mario qui vient de gâcher ses deux dernières années comme chef de l’opposition. Alors qu’il aurait dû se servir de ces deux années comme d’un tremplin pour le projeter encore plus près du pouvoir, il a plutôt complètement foutu en l’air cette chance qui, malheureusement pour lui ne reviendra pas. Les gens ont compris que si il ne peut diriger l’opposition, comment diable, fera-t-il si on lui donne le pouvoir. Selon les résultats qu’il obtiendra au soir du 8 décembre, Dumont devra faire un examen de conscience. Rester ou partir. Vingt ans dans l’opposition c’est beaucoup pour un chef. À moins qu’il retourne d’ou il vient, chez les libéraux et forcer une campagne au leadership contre Charest. Alors pour moi, il ne reste que le Parti Québécois. Avec ses défauts et ses tiraillements. Je ne peu me résoudre à voter pour un autre parti. Pourquoi ne pas annuler mon vote, me diriez-vous. Tout simplement parce que j’ai peur que ça bénéficie aux libéraux.
vendredi 28 novembre 2008
lundi 27 octobre 2008
Voyage en France - Jour 13
Le moment que nous voulions retardé le plus possible est maintenant arrivée. Dernière journée d'un voyage qui fut fantastique. Après une bonne nuit, je me sens en pleine forme, mais le coeur ne se sent toujours pas bien. Cette fois ce n'est pas la nourriture, mais le départ. Sur la route qui nous amène vers l'aéroport, j'essaye de regarder partout à la fois. J'étire un peu la têtes vers l'arrière pour voir encore une fois les Alpilles ou les cyprès derrière les maisons pêche et orange sous un soleil maintenant présent dans toute sa splendeur. Encore un peu loin, en plissant les yeux j'aperçois ou je veux apercevoir la Méditerranée, beaucoup plus belle que la veille sous ce soleil de Provence. Nous enregistrons nos bagages, puis nous retournons dehors pour emmagasiner encore un peu de se chaud soleil, un peu de ces paysages et de ces odeurs. Nous revenons à l'intérieur pour un peu de magasinage et un dernier petit pastisse.
Nous embarquons dans l'avion parmi les derniers passagers. Assis près du hublot, j'ai la chance pendant le décollage de revoir la Méditerranée, les Alpilles, les petits villages pêche et orange. J'étire encore le cou pour m'imprègne de ces images afin de les graver dans ma mémoire. Et comme on dit en provençal: ''Coquin de sort, que nous avons fait un beau voyage''. Mais dans cette avion qui me rapproche de mon Québec, j'ai le coeur gros.
Nous embarquons dans l'avion parmi les derniers passagers. Assis près du hublot, j'ai la chance pendant le décollage de revoir la Méditerranée, les Alpilles, les petits villages pêche et orange. J'étire encore le cou pour m'imprègne de ces images afin de les graver dans ma mémoire. Et comme on dit en provençal: ''Coquin de sort, que nous avons fait un beau voyage''. Mais dans cette avion qui me rapproche de mon Québec, j'ai le coeur gros.
Voyage en France - Jour 12
Temps ensoleillé, passage nuageux. Ça se réchauffe. Levé à 7H00 devions partir tôt, mais de belles discutions à saveur politique sont mené avec notre hôte, fait que nous sommes parti vers 9H30 seulement. En passant nous avons fort apprécié notre séjour à Barjac et nos hôtes très sympathiques. Nous voilà parti, mais c'est jour de marché au village, alors nous y faisons un tour. Nous achetons quelques souvenirs et enfin nous quittons Barjac en direction de Aix-en-Provence. Les paysages sont toujours aussi beaux et les odeurs des herbes de provence nous chatouilles les narines. L'Hôtel Cardinal est en plein centre ville et le trafic est dense, de plus la rue de l'hôtel est en réparation. C'est l'enfer. Nous laissons la voiture un peu plus loin et nous dirigeons à pied vers l'hôtel. Surprise! Une chambre seulement est réservée. Nous sautons sur l'occasion pour fuir cette ville beaucoup trop animée pour une nuit. D'autant que nous devons aller au bord de la mer et souper sur un petit port. Nous retenons nos chambres à Aubagne, plus près de l'aéroport. Après avoir déposé nos valises, nous partons vers la Méditerranée.
Depuis le début du voyage j'attends ce moment, revoir la mer la plus bleue au monde. Mais le temps et toujours gris et la mer l'est aussi. Qu'importe, elle est là. Belle entourée de montagnes, manque que le soleil. Nous enlevons nos chaussures, relevons nos pantalons et marchons dans l'eau, qui, malgré tout n'est pas du tout froide. Nous sommes à Cassis, petit port et village de villégiature coquet. Après avoir dîner sur le port: Pastis, moules et frittes, nous prenons la route des crêtes, d'où nous avons une vue imprenable sur la baie de Cassis. Après une vingtaine de kilomètres de route tortueuse avec d'un côté la falaise et la mer et de l'autre un précipice toujours sans garde fou, nous arrivons à Ciota. Déception, malgré une fête médiévale, nous sommes déçu. Ce village est mal entretenu. Nous décidons de retourner à Cassis pour notre dernier souper que nous voulons festif et copieux. Hélas, votre humble serviteur ne se sent pas bien. Es-ce à cause des odeurs de poissons qui émanent des restaurants ou tout simplement une accumulation de nourriture des douze derniers jour? Certaines mauvaises langues dirons que c'est à cause des nombreux desserts ingurgités au fils des jours. Bref, mon estomac a dit: ''Stop! Pu capable!'' Donc pendant que les autres souper, je dégusté une grosse bouteille de Perrier cuvée 2008. Les sauces à la crème, les frites, les fromages, les croissants, les petits pains au chocolat, les crèmes caramel, les îles flottantes et les crèmes brûles ont quelque peu eu raison de mon estomac. Après le souper, plutôt après leur souper, nous repartîmes vers l'hôtel préparer les valises et dormir notre dernière nuit sur le territoire français.
Depuis le début du voyage j'attends ce moment, revoir la mer la plus bleue au monde. Mais le temps et toujours gris et la mer l'est aussi. Qu'importe, elle est là. Belle entourée de montagnes, manque que le soleil. Nous enlevons nos chaussures, relevons nos pantalons et marchons dans l'eau, qui, malgré tout n'est pas du tout froide. Nous sommes à Cassis, petit port et village de villégiature coquet. Après avoir dîner sur le port: Pastis, moules et frittes, nous prenons la route des crêtes, d'où nous avons une vue imprenable sur la baie de Cassis. Après une vingtaine de kilomètres de route tortueuse avec d'un côté la falaise et la mer et de l'autre un précipice toujours sans garde fou, nous arrivons à Ciota. Déception, malgré une fête médiévale, nous sommes déçu. Ce village est mal entretenu. Nous décidons de retourner à Cassis pour notre dernier souper que nous voulons festif et copieux. Hélas, votre humble serviteur ne se sent pas bien. Es-ce à cause des odeurs de poissons qui émanent des restaurants ou tout simplement une accumulation de nourriture des douze derniers jour? Certaines mauvaises langues dirons que c'est à cause des nombreux desserts ingurgités au fils des jours. Bref, mon estomac a dit: ''Stop! Pu capable!'' Donc pendant que les autres souper, je dégusté une grosse bouteille de Perrier cuvée 2008. Les sauces à la crème, les frites, les fromages, les croissants, les petits pains au chocolat, les crèmes caramel, les îles flottantes et les crèmes brûles ont quelque peu eu raison de mon estomac. Après le souper, plutôt après leur souper, nous repartîmes vers l'hôtel préparer les valises et dormir notre dernière nuit sur le territoire français.
Voyage en France - Jour 11
Le Mistral commence à faire son travail. Le temps c'est un peu réchauffé et le soleil tente une percé. En cette période de l'année la Provence est 10 degrés sous les normales. Ce matin direction les Gorges de l'Ardèche dans le Rhône. Ici petit cours: Lorsque nous allons vers le nord comme ce matin, nous sommes en Rhône-Alpes et si nous descendons vers le sud comme hier (Avignon) nous sommes en Provence. Pourquoi? Parce que Barjac est à la limite nord de la Provence. Fin du cours. Plus nous roulons, plus nous montons. Plus nous nous sentons dans un autre monde. C'est aussi profond que haut. Une gorge immense creusée par des géants. Il n'y a pour ainsi dire pas de garde fou, sinon si petit (2 pieds). Nous comprenons vraiment le sens de l'expression ''à couper le souffle''. C'est un endroit ou les yeux rencontre le coeur. C'est-à-dire: le coeur monte dans votre poitrine et vos yeux descendent pour en voir encore et encore. Ici pas de chevreuils, mais des chèvres qui traversent la route, en se foutant totalement des voitures.
Après les gorges, nous descendons de ces montagnes un peu trop proches du ciel et nous nous dirigeons vers les Baux de Provence classé un des trois plus beau village de France. Perché sur une montagne, il surplombe une vallée verdoyante, d'où nous apercevons des maisons pêche et orange, tout cela ressemble à un film du temps des romains. Au hasard des ruelles nous apprécions la beauté des ces maisons médiévales. Soudain au tournant d'une maison, une place avec une terrasse. Vous avez compris c'est l'heure de la pause bouffe. C'est fou tout ce que l'on peu manger dans ce pays.
Sur la route du retour nous visitons deux autres villages, plus petits. La campagne provençale est magnifique avec ces mas et les Alpilles en arrière fond. Ici petit cours: Un mas est un ensemble de bâtiments de ferme et les Alpilles sont des chaînes de montagnes en miniature complètement dénudées. Fin du cours. Les routes sont bordé de Platanes et de Cyprès, arbres en grand nombres en Provence. Autre caractéristiques, les autoroutes du sud sont bordé des fameuses herbes de Provence comme: le romarin, la lavande, le thym et plusieurs autres ce qui procure une odeur fort agréable le long des routes. Dans tout ça il ne faut pas oublier l'accent du pays. Depuis notre départ nous avons croisé quatre accents différents: le parisien que tout le monde connaît, l'alsacien avec un fond d'allemand, le lyonnais quelque peu pointu et bien sûr le plus chantant, le provençal ou accent du midi. Ce soir nous souperons à Barjac. Déjà demain sera notre dernière nuit en France.
Après les gorges, nous descendons de ces montagnes un peu trop proches du ciel et nous nous dirigeons vers les Baux de Provence classé un des trois plus beau village de France. Perché sur une montagne, il surplombe une vallée verdoyante, d'où nous apercevons des maisons pêche et orange, tout cela ressemble à un film du temps des romains. Au hasard des ruelles nous apprécions la beauté des ces maisons médiévales. Soudain au tournant d'une maison, une place avec une terrasse. Vous avez compris c'est l'heure de la pause bouffe. C'est fou tout ce que l'on peu manger dans ce pays.
Sur la route du retour nous visitons deux autres villages, plus petits. La campagne provençale est magnifique avec ces mas et les Alpilles en arrière fond. Ici petit cours: Un mas est un ensemble de bâtiments de ferme et les Alpilles sont des chaînes de montagnes en miniature complètement dénudées. Fin du cours. Les routes sont bordé de Platanes et de Cyprès, arbres en grand nombres en Provence. Autre caractéristiques, les autoroutes du sud sont bordé des fameuses herbes de Provence comme: le romarin, la lavande, le thym et plusieurs autres ce qui procure une odeur fort agréable le long des routes. Dans tout ça il ne faut pas oublier l'accent du pays. Depuis notre départ nous avons croisé quatre accents différents: le parisien que tout le monde connaît, l'alsacien avec un fond d'allemand, le lyonnais quelque peu pointu et bien sûr le plus chantant, le provençal ou accent du midi. Ce soir nous souperons à Barjac. Déjà demain sera notre dernière nuit en France.
Voyage en France - Jour 10
Il a plu toute la nuit et par la fenêtre de la chambre le temps est gris et triste. Le déjeuner nous est servi par Jean-Claude. Notre hôte est homme fort intéressant avec en plus des opinions qui ne me déplaisent pas. Il nous encourage pour la météo et dit que le Mistral va chasser les nuages pour faire place au soleil. Ici petit cours: Le Mistral, du nom du poète Frédéric Mistral, est un vent qui vient de la mer. Lorsqu'il fait froid, il vous glace et quand il fait chaud, il vous rafraîchit. Fin du cours. À cause de la température nous changeons nos plants. Au lieu d'aller voir les grottes de l'Ardèche, nous partons plutôt vers le Pont du Gard. Chemin faisant nous nous apercevons que la rivière La Cèze a inondé une partie des terre. Il paraît que ce coin de pays les inondations ne sont pas rare. Une journée de pluie et la rivière sort de son lit. Deux ou trois jours de pluie et elle inonde les routes et les villages en basses terres.
Nous arrivons au Pont du Gard. Le spectacle est majestueux. Ce pont est en fait un aqueduc construit par les romains au 1er siècle avant JC. Il servait à transporter l'eau potable par les montagnes j'usqu'à Nime plus au sud, alors capitale romaine de la Gaule. Magnifique ouvrage architectural qui surplombe le fleuve. Depuis deux milles ans, il a subit plusieurs violentes inondations dont celles de 2002 ou le fleuve a emporté deux pans de montagne qui ont transformé pour toujours la géographie de l'endroit. Ici éditorial: Nos ingénieurs devraient s'en inspirer. Fin de l'éditorial.
Le temps de ne se réchauffe pas et nous roulons maintenant vers Avignon pour visiter le Palais des Papes et bien sûre le fameux pont. La ville est entouré de murailles, on y accède par quatre portes. Nous empruntons le boulevard principal qui arrive sur une place avec différentes étales: boucher, pâtissier, boulanger et poissonnier. Puis nous arrivons au Palais des Papes. Encore une fois époustouflant, grandiose. Nous constatons que les papes au fils des siècles jusqu'à aujourd'hui ne se sont jamais privés de rien. Nous arrivons enfin sur le Pont d'Avignon, sur lequel au lieu de danser nous avons si bien gelé. C... qui ventait! Ce pont traversait autrefois le Rhône, mais par trois fois la crue des eaux au cours des siècles l'a emporté. Il fut reconstruit deux fois. À la troisième fois les gens ont du dire: ''d'là m...''. C'est pourquoi aujourd'hui il ne se rend qu'à mi chemin du fleuve. Nous soupons à Avignon et nous prenons la route pour Barjac. Notre village n'est qu'à une trentaine de kilomètres, mais la route qui serpente les montagnes nous semble interminable. Nous arrivons il est 22H45. J'ouvre ici une parenthèse pour saluer la conduite de notre chauffeur qui nous promène à travers la France par monts et par vauts... et ce n'est pas fini.
Nous arrivons au Pont du Gard. Le spectacle est majestueux. Ce pont est en fait un aqueduc construit par les romains au 1er siècle avant JC. Il servait à transporter l'eau potable par les montagnes j'usqu'à Nime plus au sud, alors capitale romaine de la Gaule. Magnifique ouvrage architectural qui surplombe le fleuve. Depuis deux milles ans, il a subit plusieurs violentes inondations dont celles de 2002 ou le fleuve a emporté deux pans de montagne qui ont transformé pour toujours la géographie de l'endroit. Ici éditorial: Nos ingénieurs devraient s'en inspirer. Fin de l'éditorial.
Le temps de ne se réchauffe pas et nous roulons maintenant vers Avignon pour visiter le Palais des Papes et bien sûre le fameux pont. La ville est entouré de murailles, on y accède par quatre portes. Nous empruntons le boulevard principal qui arrive sur une place avec différentes étales: boucher, pâtissier, boulanger et poissonnier. Puis nous arrivons au Palais des Papes. Encore une fois époustouflant, grandiose. Nous constatons que les papes au fils des siècles jusqu'à aujourd'hui ne se sont jamais privés de rien. Nous arrivons enfin sur le Pont d'Avignon, sur lequel au lieu de danser nous avons si bien gelé. C... qui ventait! Ce pont traversait autrefois le Rhône, mais par trois fois la crue des eaux au cours des siècles l'a emporté. Il fut reconstruit deux fois. À la troisième fois les gens ont du dire: ''d'là m...''. C'est pourquoi aujourd'hui il ne se rend qu'à mi chemin du fleuve. Nous soupons à Avignon et nous prenons la route pour Barjac. Notre village n'est qu'à une trentaine de kilomètres, mais la route qui serpente les montagnes nous semble interminable. Nous arrivons il est 22H45. J'ouvre ici une parenthèse pour saluer la conduite de notre chauffeur qui nous promène à travers la France par monts et par vauts... et ce n'est pas fini.
dimanche 26 octobre 2008
Voyage en France - Jour 9
Nous quittons Mornant sous un ciel nuageux direction Puy-en-Vellay dans le Rhone-Alpes. Le paysage change encore. Les montagnes sont plus hautes. Oups! Le TGV vient de passer, nous avons à peine le temps de le voir, 300/kh c'est vite. La caractéristique du Puy-en-Velay c'est sa chapelle construite sur un pic d'une centaine de mètre. Nous décidons de commencer notre visite par le village ce qui nous privera de la montée vers la chapelle. Lorsque nous arrivons au pied de celle-ci il est 12H30 et comme je vous le disais tout est fermé entre 12H00 et 15H00. Nous n'avons pas le temps d'attendre et nous reprenons notre route vers Barjac.
Nous grimpons de plus en plus et nous traversons les Gorges du Cèze dans les Cévennes. Très impressionnant car nous entrons dans les nuages avec d'un côté la falaise et de l'autre les gorges. Par moment le souffle nous manque et notre chauffeurs doit continuellement resté concentré. Pas de place à l'erreur. Parfois les nuages sont blottis au fonds des ravins ce qui donne une vision de bout du monde. Le temps est gris et il brumasse par moment. Pour sauver du temps nous coupons au travers par une petite route de campagne pour rejoindre Barjac. Cette route quoique moins longue est pire que celle que nous venons de quitter. Nous arrivons enfin en vue de notre village. Il est 18H00. Nous trouvons sans trop de difficulté la maison ou nous attend nos hôtes: Annie et Jean-Claude. Nous montons un escalier en colimaçon tout en pierre qui mène à nos chambres d'époques fort joliment décorées. Nous soupons dans le village et après une promenade dans le village, nous rentrons dans nos chambres. Le périple provençal va commencé par une visite au Pont du Gard.
Nous grimpons de plus en plus et nous traversons les Gorges du Cèze dans les Cévennes. Très impressionnant car nous entrons dans les nuages avec d'un côté la falaise et de l'autre les gorges. Par moment le souffle nous manque et notre chauffeurs doit continuellement resté concentré. Pas de place à l'erreur. Parfois les nuages sont blottis au fonds des ravins ce qui donne une vision de bout du monde. Le temps est gris et il brumasse par moment. Pour sauver du temps nous coupons au travers par une petite route de campagne pour rejoindre Barjac. Cette route quoique moins longue est pire que celle que nous venons de quitter. Nous arrivons enfin en vue de notre village. Il est 18H00. Nous trouvons sans trop de difficulté la maison ou nous attend nos hôtes: Annie et Jean-Claude. Nous montons un escalier en colimaçon tout en pierre qui mène à nos chambres d'époques fort joliment décorées. Nous soupons dans le village et après une promenade dans le village, nous rentrons dans nos chambres. Le périple provençal va commencé par une visite au Pont du Gard.
Voyage en France - Jour 8
Aujourd'hui le temps est ensoleillé avec des passages nuageux. Temps agréable.
À Paris Jean-Luc a eu des éruptions cutanées. Rien de bien grave, mais il a des démangeaisons et comme nous ne sommes pas chez nous, vaut mieux prévenir. Alors ce matin, visite de la pharmacie du village. Sauf qu'ici, il faut des prescriptions pour a peu près tout. Alors petite marche dans le village pour une visite dans un cabinet de médecin. Ça tombe bien on nous réfère chez le docteur Bienpayé. Nom charmant s'il en est un. Après une demi heure d'attente et 22 euros plus tard, Jean-Luc sort heureux avec sa prescription en main. Nous retournons vers la pharmacie et nous partons en direction de Lyon.
Lyon peut être comparée à Montréal par sa population. Beaucoup moins visité par les touristes, Elle a été baptisée ''La discrète'' par ses habitants. Mais c'est tout de même une belle ville avec quelques endroits intéressants. Il y a trois anciens quartiers: St-Jean, St-Paul et les plus beau, le St-Georges. Petit cours: Charité bien ordonnée, commence toujours par sois-même. Fin du cours. Nous commençons notre visite par un petit lunch, genre sandwiches sur baguettes avec des charcuteries lyonnaises, une crêpes aux marrons comme dessert et pour terminer un café crème.
L'attrait le plus intéressant est sans nul doute le théâtre romain construit au 1er siècle avant JC. Éditorial ici: Il est encore debout et ma foi en très bon état. Fin de l'éditorial. Nous continuons notre visite vers la Cathédrale de Lyon, après quoi nous descendons par funiculaire vers le centre ville. Nous tombons sur une magnifique avenue piétonnière plus large que la Catherine de Montréal, toute en tuiles de granite. De plus c'est l'heure de la sortie des bureaux. Il est 18H00. Ce soir nous allons dans un petit restaurant italien (non pas de terrasse) et nous rentrons à l'hôtel. Nous entamons demain notre dernière étape vers la Provence avec un arrêt à Puy-en-Velay.
À Paris Jean-Luc a eu des éruptions cutanées. Rien de bien grave, mais il a des démangeaisons et comme nous ne sommes pas chez nous, vaut mieux prévenir. Alors ce matin, visite de la pharmacie du village. Sauf qu'ici, il faut des prescriptions pour a peu près tout. Alors petite marche dans le village pour une visite dans un cabinet de médecin. Ça tombe bien on nous réfère chez le docteur Bienpayé. Nom charmant s'il en est un. Après une demi heure d'attente et 22 euros plus tard, Jean-Luc sort heureux avec sa prescription en main. Nous retournons vers la pharmacie et nous partons en direction de Lyon.
Lyon peut être comparée à Montréal par sa population. Beaucoup moins visité par les touristes, Elle a été baptisée ''La discrète'' par ses habitants. Mais c'est tout de même une belle ville avec quelques endroits intéressants. Il y a trois anciens quartiers: St-Jean, St-Paul et les plus beau, le St-Georges. Petit cours: Charité bien ordonnée, commence toujours par sois-même. Fin du cours. Nous commençons notre visite par un petit lunch, genre sandwiches sur baguettes avec des charcuteries lyonnaises, une crêpes aux marrons comme dessert et pour terminer un café crème.
L'attrait le plus intéressant est sans nul doute le théâtre romain construit au 1er siècle avant JC. Éditorial ici: Il est encore debout et ma foi en très bon état. Fin de l'éditorial. Nous continuons notre visite vers la Cathédrale de Lyon, après quoi nous descendons par funiculaire vers le centre ville. Nous tombons sur une magnifique avenue piétonnière plus large que la Catherine de Montréal, toute en tuiles de granite. De plus c'est l'heure de la sortie des bureaux. Il est 18H00. Ce soir nous allons dans un petit restaurant italien (non pas de terrasse) et nous rentrons à l'hôtel. Nous entamons demain notre dernière étape vers la Provence avec un arrêt à Puy-en-Velay.
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